La
quatrième de couverture.
Ondine,
fille des eaux, confiante dans la puissance de l'amour qu'elle
éprouve pour le chevalier Hans von Wittenstein zu Wittenstein,
accepte le pacte du Roi des Ondins : partir et vivre son amour
humain. Mais si Hans la trahit, il mourra et Ondine retournera au
Lac, perdant jusqu'au souvenir de son existence terrestre.
Poétique,
étincelante, avec un dialogue d'une rare richesse, Ondine,
pièce en trois actes qui met en scène la fragilité des amours
humaines, a été créée le 4 mai 1939 au théâtre de l'Athénée,
sous la direction de Louis Jouvet, qui jouait le rôle du chevalier.
Avis.
Après
avoir lu Ondine de La Motte-Fouqué, j'ai lu la reprise de
Jean Giraudoux, que je n'ai pas apprécié.
Je
trouve dommage que cette histoire soit sous forme de pièce de
théâtre, sans doute parce que j'ai préféré le conte de La
Motte-Fouqué.
Le
personnage d'Ondine dans cette pièce de théâtre est débauchée,
je l'ai trouvé hautaine, trop sûre d'elle et soumise au chevalier.
Même en connaissant la fin du mythe d'Ondine, la façon dont elle
est racontée ici ne fait pas ressortir la tristesse..
Je
suis vraiment déçue ; peut-être que l'explication que mon
professeur en fera en cours remontera un peu l'avis que j'ai.
Jean Giraudoux / Le livre de Poche / Le théâtre de Poche / 2014 / 156 pages.
Je pense passer mon tour avec cet ouvrage, pas trop mon truc :/
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