La
quatrième de couverture.
Quel
poème merveilleux et charmant que l'Ondine ! Ce poème
est lui-même un baiser ; le génie de la poésie embrassa le
printemps endormi, et celui-ci ouvrit les yeux en souriant, et toutes
les roses embaumèrent et tous les rossignols chantèrent, et ce que
les roses ont embaumé et ce que les rossignols ont chanté, notre
excellent Fouqué sut l'exprimer en l'appelant Ondine.
Heinrich
Heine.
Avis.
Je
ne connaissais pas le mythe de l'Ondine ; je connaissais ceux
qui s'en rapprochent : la petite sirène, Morgane, les filles du
Rhin.
J'ai
beaucoup aimé ce conte, l'ambiance médiévale va bien avec
l'histoire d'Ondine. Cette dernière est un beau personnage, elle est
un peu impertinent mais j'ai su apprécié ce personnage.
On
retrouve bien dans ce conte le mouvement romantisme avec la plume de
l'auteur ; c'est poétique et on a quelques fois des références
à l'Antiquité. Tout cela forme une très belle histoire.
C'est
donc un beau conte, que je pourrais peut-être relire de temps en
temps.
La Motte-Fouqué / Rivages / Poche - Petite Bibliothèque / 2011 / 186 pages.
Par contre le conte me tente plus que la pièce avec tes avis :)
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