[France] L'écume des jours.

La quatrième de couverture.

Un titre léger et lumineux qui annonce une histoire d'amour drôle ou grinçante, tendre ou grave, fascinante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans. C'est un conte de l'époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et déchirant. Dans cette oeuvre d'une modernité insolente, livre culte depuis plus ce cinquante ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, la mort prend la forme d'un nénuphar, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoir.

Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable et l'amour absolu et la musique des Noirs américains...

Avis.

J'ai lu ce livre pour la première fois quand j'étais en première au lycée et on était passé dessus tellement vite que je n'avais pas apprécié. Comme tous mes livres du lycée, j'ai voulu le relire et me forger une véritable opinion.

Malheureusement, je suis toujours aussi déçue.

Je n'ai pas trouvé l'histoire intéressante, elle n'avait aucun rythme, quoiqu'un rythme très très lent est un rythme quand même. Les personnages ne m'ont pas plu, ni Colin, ni Chloé. Je ne les ai pas trouvé "charmants", ils sont presque insupportables.

Habituellement, j'aime beaucoup les images dans les livres, la poésie, etc, mais dans ce roman, j'ai trouvé que cela rajouter un poids énorme à la lecture et m'a ennuyé.

Bref, je n'ai pris aucun plaisir pendant cette relecture (mais avec les explications que la prof nous avait donné en cours). C'était une perte de temps.

Boris Vian / Le livre de Poche / Le livre de Poche / 2008 / 335 pages.