La quatrième de
couverture.
Le Japon des années
1970, des êtres mélancoliques aux amours suspendues, une solitude
éprise de philosophie et de musique, et cette étrangeté rêveuse,
teintée d'énigme, de poésie : Murakami était déjà
Murakami. Longtemps inédits, ses deux premiers romans « écrits
sur la table de la cuisine » initient la « trilogie du
Rat », que clôt La course au mouton sauvage. Précédés d'une
préface du maître qui en révèle la genèse, d'une fraîcheur
singulière, envoûtante, ils offrent un précieux et passionnant
miroir de l’œuvre à venir. La naissance d'un écrivain unique.
Avis.
Adoratrice de Murakami
Haruki, je ne pouvais pas passer devant cette réédition des
éditions 10/18.
J'ai beaucoup aimé la
préface qui nous explique comment l'auteur s'est tourné vers
l'écriture.
Pour Ecoute le chant du
vent, j'ai été surprise d'apprendre qu'elle avait été écrite
d'abord en anglais, puis traduite en japonais par Murakami, pour
pouvoir trouver son propre style.
Dans Flipper, 1973, j'ai
trouver un peu dommage que le thème principal (les flippers) ne soit
vraiment aborder qu'à la fin.
Dans ces deux romans, je
n'ai pas complètement retrouver l'univers étrange habituel.
Néanmoins, ce sont de très belles nouvelles pour découvrir les
débuts d'un très grand écrivain.
Murakami Haruki / 10/18 / 2017 / 312 pages.
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