La
quatrième de couverture.
« Elle
sanglotait. L'abbé Faujas avait redressé sa haute taille, il
s'approchait de Marthe, laissa tomber sur elle son mépris de la
femme.
-Ah !
Misérable chair ! Dit-il. Je comptait que vous seriez
raisonnable, que jamais vous n'en viendriez à cette honte de dire
haut ces ordures... Oui, c'est l'éternelle lutte du mal contre les
volontés fortes. Vous êtes la tentation d'en bas, la lâcheté, la
chute finale. Le prêtre n'a pas d'autre adversaire que vous, et l'on
devrait vous chasser des églises, comme impures et maudites.
-Je
vous aime, Ovide, balbutia-t-elle encore ; je vous aime,
secourez-moi. »
Avis.
Pour
ce quatrième tome des Rougon-Macquart, j'ai eu un peu de mal car on
est en plein dans la politique mêlée à la religion et ce n'est pas
un sujet que j'affectionne. J'ai trouvé le début vraiment très
long (plus que dans les autres romans de l'auteur). Le mélange
politique-religion est horrible : je n'ai pas apprécié ma
lecture à cause de cela.
Heureusement
que pour compenser, j'adore la plume de l'auteur et ses descriptions
(qui sont étonnement rare dans ce tome 4).
Je
continue tout de même mon exploration du Paris du XIXè siècle avec
le tome suivant.
Emile Zola / Folio / 1991 / 417 pages.
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