La quatrième de
couverture.
Moby-Dick (1851),
le chef-d'oeuvre de Melville, est l'histoire d'une obsession :
qu'un féroce cachalot a emporté la jambe du capitaine Achab,
celui-ci le poursuit sans relâche de sa haine. Ismaël, matelot
embarqué à bord du baleinier le Péquod, se trouve pris peu à peu
dans le tourbillon de cette folle vengeance : c'est par sa voix
que se fera entendre l'affrontement final de l'homme et du grand Léviathan blanc.
Comme encyclopédie
érigeant la baleine en un véritable mythe, récit hanté par
l'énigme du bien et du mal, Moby-Dick nous fait naviguer sur
des mers interdites et accoster sur des rivages inhumains. Jamais on
n'épuisera la science des baleines, suggère Melville. Jamais non
plus on ne viendra à bout de la fascination qu'inspire ce roman
sombre et puissant.
Avis.
Pour l'objet-livre, je
regrette de ne pas avoir acheté l'édition en anglais avec de très
belles illustrations.
Concernant l'histoire,
j'ai eu beaucoup de mal à la lire : il y a beaucoup trop de
passages sur la cétologie (science des baleines), c'est assez
ennuyant (sauf pour certains). Les personnages ne sont pas attachant,
pas même Achab, j'ai eu l'impression de traîner des boulets tout au
long de ma lecture.
Ce roman aurait pu être
très intéressant pour son côté marin, découvrir quelque chose
que je ne connais pas mais ce fut un échec. J'ai trouvé la
description de la chasse à la baleine, la façon de la dépecer
horrible..
En somme, c'est un
classique que j'ai toujours voulu lire, j'en ai eu l'occasion grâce
à la fac mais je suis déçue.
Herman Melville / GF-Flammarion / 2012 / 589 pages.
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