La
quatrième de couverture.
Annie
a été séquestrée.
Elle
a passé douze mois en enfer dans une cabane perdue au fond d'une
forêt. Annie est libre, enfin, mais les séances chez le psychologue
lui font revivre chaque minute.
Annie
est sauvée, le plus dur est derrière elle.
Du
moins le croit-elle.
Avis.
Ce
livre m'a été conseillé sous le titre La
Cabane de l'enfer
par une connaissance.
J'ai
beaucoup aimé ce livre : l'auteure nous fait entrer dans son
histoire par l'intermédiaire d'Annie chez sa psychologue, où elle
va lui raconter ce qui lui est arrivée. C'est un point que j'ai bien
aimé : cette « forme » de chapitre : des
séances chez la psychologue ; cependant, on remarque qu'Annie
pose des questions à cette dernière mais jamais, on ne voit les
réponses.
L'histoire
est assez horrible : on a douze mois de séquestration décrits
dans les détails (viol, horaires strictes pour manger, aller se
laver et au toilette, etc). Comme le roman est écrit à la première
personne, il donne vraiment l'impression d'être à la place
d'Annie : c'est assez perturbant.
Pour
le style de l'auteur, je l'ai trouvé fluide, malgré le thème de
l'histoire, elle est simple à lire ; les flash-back ne tombent
pas d'un coup sans que l'on sache pourquoi, ils sont bien intégrés
dans le récit.
En
somme, j'ai complètement adoré ce roman : surtout pour la fin
qui est très surprenante.
Chevy Stevens / Pocket / Pocket / 2013 / 383 pages.
J'ai beaucoup aimé ce huis clos.
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