La quatrième de
couverture.
De l'univers des geishas
aux rites sacrificiels des samouraïs, de la cérémonie du thé à
la boutique d'un antiquaire, Mishima explore toutes les facettes d'un
Japon mythique, entre légende et tradition. D'une nouvelle à
l'autre, les situations tendrement ironiques côtoient les drames les
plus tragiques : que ce soit la jolie danseuse qui remet du
rouge à lèvre après avoir renoncé à se défigurer avec de
l'aicde en souvenir de son amant, Masako, désespérée, qui voit son
rêve le plus cher lui échapper, ou l'épouse qui se saisit du
poignard avec lequel son mari vient de se transpercer la gorge...
Avis.
Après avoir adoré
Kinkakuji, il fallait
que je me lance dans un autre livre de Mishima Yukio et j'ai choisi
de lire Dojoji.
Dans ce recueil, il y a
plusieurs nouvelles. Pour Dojoji, c'est la première fois que
je lis une pièce de théâtre écrite par un auteur japonais. Je
l'ai trouvé un peu bizarre, au premier abord, mais après, j'ai
beaucoup aimé. On nous parle d'une simple armoire qui va avoir un
« rôle » psychologique important pour les personnages.
Après, il y a Les
sept ponts. Il s'agit d'un conte parlant de geisha, avec
tradition et modernité.
Puis, on a Patriotisme :
j'ai retrouvé la philosophie de Mishima dans cette nouvelle. Elle
peut représenter avant l'heure l'acte que Mishima Yukio fera quatre
ans après la publication de ce recueil.
Et la dernière est La
perle. Une nouvelle qui finit le recueil de façon légère.
J'ai de nouveau beaucoup
aimé les écrits de Mishima. Je compte bien ne pas m'arrêter-là et
continuer à lire cet auteur.
Mishima Yukio / Folio / 2€ / 2002 / 125 pages.
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