La
quatrième de couverture.
Il
est illettré, alcoolique, père de trois enfants, sans travail ni
avenir. Il survit près d'une décharge publique, quelque part dans
le sud-ouest des Etats-Unis. Mais l'Amérique ne l'a pas tout à fait
oublié. Un inconnu, producteur de snuff movies, lui propose un
marché : sa vie contre trente mille dollars. Il s'appelle Rafael, et
il n'a plus que trois jours à vivre... Avec ce récit, Gregory
Mcdonald n'a pas seulement sondé le coeur de la misère humain, il
lui a aussi donné un visage et une dignité.
Avis.
Voici
un livre qu'une amie m'a prêté en me prévenant qu'il était dur à
lire.
Tout
d'abor, la quatrième de couverture ne m'a pas intrigué plus que
cela, le titre du livre l'a plus été.
En
commençant ma lecture, je ne m'attendais pas à tant de violence
dans les propos dès les premières pages : Rafael, un garçon qui
cherche du travail, se fait insulter de "poivrot" presque
avant d'ouvrir la bouche. Après, mon amie m'a dit que ce serait un
livre émouvant. Ouais. Bon. J'avoue ne pas être tout à fait de cet
avis : l'histoire de Rafael, les conditions dans lesquelles sa
famille et lui vivent, les conditions du nouveau travail qu'il aura
sont assez dur mais avec l'écriture de Gregory McDonald, cela n'a
pas été aussi dur à lire que je le pensais. En fait, je n'ai pas
aimé la façon dont le livre est écrit : c'était plat, je n'ai pas
ressentis l'étincelle que j'ai quand un livre m'émeut.
Finalement,
c'est un petit livre qui présente la misère humaine mais qui ne m'a
pas plu dans la façon dont il est écrit.
Gregory McDonald / Fleuve Noir / 10-18 / 1991 / 191 pages.
Dommage pour l'écriture, ça me rebute un peu également :/
ReplyDeleteIl ne me tente pas du tout!
ReplyDeleteLiseuse66