La
quatrième de couverture.
Judith,
30 ans, nettoyeuse de scènes de crimes, affronte son passé... et
réveille de mortels souvenirs...
Alors
que Judith nettoie l'appartement où une jeune femme a été
sauvagement assassiné, un coursier lui dépose une enveloppe
adressée à la défunte. Intriguée, Judith l'ouvre. A l'intérieur,
un dossier : le sien, celui de ses terribles années à l'orphelinat.
Qui
est la morte ? Pourquoi s'intéressait-elle à Judith ? Et quels
mystères renferme le passé de la nettoyeuse ?
Sur
les traces de sa propre histoire, Judith se lance dans une incroyable
enquête. Mais à vouloir remuer le passé, elle risque de déterrer
un terrifiant secret, enfoui depuis vingt-cinq ans. Pour ceux qui le
protègent, Judith est devenue l'ennemie à éliminer d'urgence...
Avis.
Une
amie m'a prêté ce livre pour savoir ce que j'en penserais.
A
première vue, le titre et la quatrième de couverture m'avaient bien
plu. J'ai donc commencé ce livre avec envie. Malheureusement,
l'histoire ne m'a pas plu du tout, elle n'avait rien d'original. Plus
j'avançais dans l'histoire et dans les pages, plus je me demandais
où était l'action. Pendant cinq cent pages, j'ai attendu l'action,
le suspense, etc ; et arrivée aux remerciements, j'ai compris que ce
livre était nul. Comme les actions étaient inexistante, il n'y
avait pas de rythme et l'ensemble était "mou".
Du
côté des personnages, Judith, l'héroïne, ne m'a pas du tout plu,
malgré son histoire. Je l'ai trouvé trop sûre d'elle et cela,
c'est une chose que je ne supporte pas.
Quand
à Quirin, je me pose toujours mille questions : pourquoi, comment,
etc est-il toujours en train de... "suivre" Judith ? Bref,
c'est un personnage incompréhensible.
Puis,
j'attendais quelque chose de plus dans leur relation à tous les
deux.
Finalement,
je trouve que ce livre ne m'a servi à rien, même au niveau
historique avec l'avant/après de la chute du mur de Berlin. Pour
moi, l'auteure s'est trop concentrée sur l'espionnage.
Bref,
une lecture plus qu'ennuyeuse.
Elisabeth Herrmann / Fleuve noir / France Loisirs / 2013 / 508 pages.
Ton avis ne me tente pas pour le découvrir, dommage il aurait pu être intéressant :/
ReplyDeleteIl ne me tente pas....
ReplyDeleteLiseuse66